Les actions humanitaires à travers le monde indiquent l’intérêt du public pour des causes altruistes. Grâce aux associations caritatives, combattre la faim ou soigner des personnes en difficulté est possible. Cependant, ces organisations ont mauvaise presse. Mathieu Sbai, informaticien, humanitaire et surtout révolutionnaire, offre une autre image des actions caritatives à travers son association Hand to Hand.
Le fonctionnement connu des associations humanitaires
La famine en Afrique, des problèmes d’éducation partout dans le monde… voilà autant de causes qui attirent les associations. Ces dernières souhaitent remédier à ces situations en apportant des aides sous diverses formes aux victimes. C’est ainsi que des dons de nourriture, de matériel ou d’argent sont réunis par les bonnes œuvres pour être ensuite redistribués auprès de ceux qui ont besoin d’aide. Grâce à la générosité du public, les organismes publics et privés peuvent intervenir partout dans le monde afin d’améliorer de manière notable la vie de milliers de personnes.
Une réalité différente de ce que le public perçoit
Les œuvres caritatives souhaitant apporter leur aide à travers le monde sont très appréciées du public. Cependant, le fonctionnement de certaines associations est bien différent de la réalité. C’est un fait, le secteur de l’humanitaire est un terrain favorable aux supercheries. Les arnaques y sont courantes et les donateurs comme les bénéficiaires des projets en sont souvent les victimes.
Depuis des années, les actions caritatives rapportent de grosses sommes d’argent. Les bonnes âmes prêtent à aider autrui sont nombreuses, ce qui en fait des cibles parfaites pour les escroqueries. En effet, les donateurs n’hésitent pas à fournir des aides sous toutes les formes. Toutefois, une grande partie de ces dernières sont détournées par les membres des associations. À cause des actions malveillantes des porteurs du projet caritatif, chaque partie est lésée. Les donateurs perdent de l’argent ainsi que leur confiance envers toute action humanitaire. Les bénéficiaires, quant à eux, sont privés d’une aide précieuse qui pourrait leur sauver la vie.
Une révolution du système des associations caritatives
À cause de la mauvaise image associée aux organismes humanitaires, ces derniers reçoivent moins d’aides. Si des structures honnêtes continuent d’opérer, elles sont éclipsées par la mauvaise réputation liée au secteur des œuvres caritatives. Les associations doivent donc trouver un moyen de se détacher des représentations négatives du public pour continuer à opérer et à aider réellement les personnes dans le besoin.
Mathieu Sbai, informaticien et auteur de nombreuses théories sur l’éducation, propose une solution à la problématique actuelle. Cet entrepreneur citoyen est considéré comme un innovateur dans de plusieurs domaines. Après avoir bousculé le secteur de l’éducation avec ses idées révolutionnaires, il se consacre désormais aux activités humanitaires en lançant l’association Hand to Hand. Comme à son habitude, Mathieu Sbai propose des solutions simples et efficaces pour résoudre les problèmes liés à la présence d’intermédiaires ou au détournement de dons.
La transparence est la priorité
Les faits divers parlant de détournement de dons au sein des associations caritatives sont multiples. Pour casser l’image de plus en plus négative du public, l’association Hand to Hand de Mathieu Sbai prône une transparence totale de toutes ses actions. À quoi faut-il donc s’attendre ?
Avec sa politique de transparence, Hand to Hand souhaite se démarquer des autres organismes caritatifs. Ainsi, l’association offre aux donateurs la possibilité de tracer toutes les aides qu’ils ont offerte. Pour maintenir la confiance entre la structure et le public, les responsables permettent donc aux personnes ayant fait un don de savoir exactement à quoi ce dernier a servi. Qu’il s’agisse d’argent ou de biens en nature, les donateurs sont informés en temps réel de leur utilisation.
Les intermédiaires sont supprimés
La mauvaise image attribuée aux organismes humanitaires vient en partie des intermédiaires. Ces tierces personnes servant de lien entre le bénéficiaire d’une aide et le donateur sont souvent mal intentionnés. Ils mentent de manière convaincante afin que les gens acceptent de leur faire des dons. Cependant, tout l’argent récolté par les intermédiaires n’arrivera jamais à destination.
Dans l’association Hand to Hand de Mathieu Sbai, toutes les transactions se font de manière directe. Les membres de l’organisme cherchent eux-mêmes les personnes à aider. Elles sont sélectionnées dans leur entourage plus ou moins proche afin d’éviter les risques d’arnaque. Cette décision permet également d’inciter leurs connaissances à faire des dons plus facilement. Ainsi, l’association collecte directement les dons et elle peut les redistribuer aux bénéficiaires sans crainte de détournement des ressources.
Les connaissances techniques de Sbai au service de l’association
Mathieu Sbai est un informaticien reconnu. C’est aussi un spécialiste des systèmes d’information. Ces connaissances technologiques lui sont d’une grande aide dans la gestion de l’association Hand to Hand. Pour faciliter les actions de bienfaisance de la structure, monsieur Sbai a mis en place une plateforme digitale.
Sa création sert d’intermédiaire et de portail de suivi en temps réel de toutes les activités de l’association. Depuis la plateforme, les donateurs et les bénéficiaires interagissent librement. Les personnes ayant fourni une aide quelconque ont donc la possibilité de suivre l’évolution du projet caritatif. Ils sont constamment informés de l’utilisation des fonds qu’ils ont donnés. De même, ils retrouvent facilement les différents besoins des bénéficiaires. Ils ont alors la possibilité de faire d’autres dons ou de fournir n’importe quelle aide à leur portée.
Cette plateforme se positionne comme une révolution dans le secteur des associations caritatives. Grâce à cette politique de transparence inédite, Mathieu Sbai et ses collaborateurs espèrent redorer le blason de l’humanitaire mis à mal pour les actions nuisibles de certains intermédiaires.

De l’éducation à l’humanitaire
Il y a des années, Mathieu Sbai s’est fait connaître par les innovations qu’il a apportées dans le secteur de l’éducation et de l’emploi. Sa maîtrise des systèmes d’information lui a permis de mettre au point de nombreuses théories révolutionnaires. Il est ainsi l’auteur des méthodes Aleph et FAHM3. Ces dernières prônent une forme d’éducation adaptée pour les jeunes enfants. Grâce à un apprentissage sur mesure à la fois pratique et ludique, les enfants peuvent améliorer leurs connaissances et ainsi apprendre plus vite. À 12 ou 14 ans, les élèves ont de grandes chances d’obtenir leur baccalauréat grâce à ces méthodes. Et de 16 à 19 ans, ils peuvent espérer décrocher un diplôme d’études supérieur.
Mathieu Sbai pense également à la suite du parcours des utilisateurs de l’Aleph. Puisque ces derniers obtiennent leur diplôme plus tôt, ils peuvent rencontrer des problèmes pour trouver un métier adapté. C’est dans cette optique qu’il a créé le Village de l’emploi. Ce parcours axé sur l’informatique forme les nouveaux bacheliers pour les aider à trouver plus rapidement des postes adaptés à leurs connaissances et leurs capacités.
Avec l’association Hand to Hand, monsieur Sbai combine son savoir-faire en informatique avec des actions sociétales. La politique de traçabilité et de transparence qu’il prône est un vent de fraicheur dans le secteur caritatif suisse. Grâce à sa plateforme, il assure aux donateurs que leur aide est entièrement dévolue aux personnes ayant besoin d’une assistance.
Actuellement, Mathieu Sbai travaille avec divers organismes locaux. À travers Hand to Hand, il présente différemment les aides caritatives. Il permet à chacun de connaître toutes les actions menées pour améliorer le quotidien des personnes dans le besoin. Cette stratégie est une excellente manière pour inciter plus de donataires à participer à des actions sociales.